Au petit matin nous sommes parti Gavarnie, encore totalement endormi. Puis nous avons pris la direction du Cirque, en passant devant l'hôtellerie du Cirque je m'imaginais les discutions des grands pyrénéistes Rusell, de Monts, Bazillac...
Au fur et que nous approchions, nous cherchions des figures apparaissent dans la paroi.
Au "pied du Mur", nous nous sommes équipés en regardant les premiers touristes monter au pied de la Grande Cascade.
Ensuite nous avons commencé à grimper, pratiquement chaque longueur comporte un passages nommé en fonction le l'environnement et des formes du rocher: le trou boueux, la tête de lion, le museau de chien, la tête de femme, la cascade.
La météo pluvieuse des jours précédant avait bien alimenté le passage sous la cascade, nous obligeant de mettre la Gore-Tex.
Nous avons débouché au premier étage sous le soleil qui nous a séché et réchauffé. Régulièrement tout au long de la course, je pensais à Célestin Passet qui a ouvert cet itinéraire en 1887 avec un matériel incomparable avec celui que nous avons aujourd'hui.
En suivant du casse-croûte, nous avons ranger l'équipement dans nos sacs à dos, puis avons pris le chemin de retour, par l'échelle des Sarradets.
Régulièrement tout au long de la course, je pensais à Célestin Passet qui a ouvert cet itinéraire en 1887 avec un matériel incomparable avec celui que nous avons aujourd’hui.